lundi 19 novembre 2007



English:





At 40 km north of Dakar on Grand Coast, Lake Retba the village of Sangalkam is a natural curiosity, made famous by the arrival of the Paris-Dakar rally. It's called the Lac Rose because the high salt content, the microscopic algae and microorganisms in the water give it a pink color. Depending on the time and the light it passes through all shades of pink, purple until late afternoon. Over time drought brought the lake into the river separates the Atlantic Ocean by an accumulation of sand dunes today, these are covered with palm trees and filaos. The area of Lac Rose, depths of 3 m, is constantly diminishing. Because of its high salt content, from 380 to 400 g / l, we can not drown them, we can only float. In the sides of the Lac Rose many campsites and inns welcome tourists. Lake 3 square km, divided into four sites Khar Yalla, Khoss, Virage and Daradji, provides jobs for thousands of people through the salt used since the 70's by more than 800 canoes, Senegalese surrounding villages, but also Guineans and Malians.


Français:




A 40 km au nord de Dakar sur la Grande Côte, le Lac Retba du village de Sangalkam est une curiosité naturelle, rendu célèbre par les arrivées du rallye Paris-Dakar.
On l'appelle le Lac Rose parce que la forte teneur en sel, les algues microscopiques et les micro-organismes de son eau lui donnent une couleur rose. Selon l'heure et la lumière il passe par toutes les nuances du rose, jusqu'au mauve en fin d'après-midi.
Avec le temps la sécheresse a formé le lac en le séparant de l'Océan Atlantique par une accumulation de sable, aujourd'hui ces dunes sont recouvertes de palmiers et de filaos.
La superficie du Lac Rose, profond de 3 m, ne cesse de diminuer. A cause de sa forte teneur en sel, de 380 à 400 g/l, on ne peut pas s'y noyer, on ne peut que flotter.
Autour du Lac Rose de nombreux campements et auberges accueillent les touristes.
Le lac de 3 km², divisé en quatre sites Khar Yalla, Khoss, Virage et Daradji, fait vivre des milliers de personnes grâce au sel exploité depuis les années 70 par plus de 800 pirogues, des Sénégalais des villages environnants, mais aussi des Guinéens et des Maliens.

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